Clark Kent Philippulus 1er septembre 2022 15:54

@Jean-Luc ROBERT

Moins drôle :une enquête auprès de 120 maternité du National Health Service (NHS) au Royaume-Uni a fait apparaitre que, pour éviter le mot « femmes » par crainte de contrarier les militants des “droits” des transsexuels, transgenres et autres, 42 de ces établissements (soit 34 %) ont adoptés des formulations comme «  personnes qui accouchent  » pour désigner leurs patientes, ou même « utilisatrices de services », et seulement 29 établissements ont déclaré n’utiliser que le mot «  femme » ou «  mère  » pour parler de la grossesse. Par contre, quinze autres envisagent d’introduire des termes tels que «  personnes enceintes  » dans leur vocabulaire.

Encore mieux : sur les 1,3 millions de femmes qui ont accouché en Angleterre en l’espace de deux ans, moins de 50 d’entre elles ne seraient pas identifiées comme des « femmes » justement…

Pourtant, une maternité de Liverpool qui a indiqué utiliser la formule inclusive de “personnes enceintes” indique n’avoir accueilli aucune patiente “transgenre” sur les 17 000 femmes ayant accouché dans ses locaux depuis avril 2020.

Le langage n’est pas toujours la représentation de la réalité. Il est également celle de fantasmes et d’idéologies depuis toujours, comme l’illustrent les mythologies, et c’est toujours dans le but de manipuler une population, la contrôler et la soumettre. Pourquoi en serait-il autrement pour cette “mode” envahissante mais pas innocente ?



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