@sylvain
une mesure contre la haine sur les reseaux sociaux 

Vous voyez de la haine partout. Même dans les notions les plus élémentaires d’anatomie.
Un utérus et un pénis ne peuvent pas cohabiter. Même une hypertrophie clitoridienne n’en fait pas un pénis. La plupart du temps, cette hypertrophie (qui peut atteindre exceptionnellement 8 à10cm) ne fait pas d’une femme un homme, et est plutôt vécue sinon comme une infirmité, en tous cas comme une gène générant une grande tristesse et une dépression. Mais la plupart du temps ces femmes s’en foutent, et elles ont bien raison. Il y a surement des amateurs chez les hommes comme chez les femmes, d’ailleurs...
La réduction chirurgicale s’opère sans risque, au prix parfois d’une petite perte de sensibilité.
Quant à la phalloplastie, c’est une chirurgie lourde qui consiste à faire une sorte de pénis avec un lambeau de peau prélevé ailleurs. C’est destiné aux femmes qui veulent changer de genre. Il faut ensuite un implant pénien pour la pénétration (pompe). On nous dit que le nerf du clitoris transposé peut permettre un orgasme (je demande à voir).
Ca dure 10 heures, avec plusieurs anesthésies.
Ca peut se compliquer de nécroses, d’infections, d’hématomes ou de sténose de l’urètre. Ca peut nécessiter une réintervention.
C’est remboursé SS, et ça coûte 35.000 euros...
A mon avis, si on n’est pas content de son sexe, le mieux est d’attendre sa prochaine réincarnation...On dit d’ailleurs que l’homosexualité et le transgenrisme viennent d’un changement après une série d’incarnations dans un sexe donné, auquel on ne parvient pas à s’habituer...
Mais que ne dit-on pas ?