Tant qu’on n’aura
pas mis une bombe (virtuelle) rue de Grenelle, anéantissant les idéologies qui
asphyxient cette institution, toute discussion sur l’enseignement est une perte
de temps, proprement inutile.
Quand on
aura terrassé la pieuvre et ses tentacules syndicales, on pourra alors commencer
à réfléchir à l’avenir de l’école, et peut-être même à mieux payer les
enseignants « reborn ».