@Astrolabe
Agoravox est devenu la petite voix du Kremlin. Des trolls comme s’ils en pleuvait. Un article encore dans la mouvance de banalisation, avec le coeur des trolls qui ramènent les mêmes arguments de petites mains cousant leur ouvage propagandiste : L’usa honni qu’aurait fait pire par le passé....(Irak et Vietnam- comme si les Ukrainiens devaient payer la note pour eux par délégation....) .Par ailleurs cet argument comique rélève ce qu’il veut nier, à savoir que les exactions présentes sont d’un caractère terrible et génocidaire. 

Mais qu’elle est La légitimité de Poutine, président à vie, ayant des fureurs infantiles, et menaçant le monde et même ses généraux de ses foudres.....Ce dingo tenant d’un clonage d’Hitler avec Nosferatu le vampire semble vouloir enmener son pays en enfer en lui jouant un air de flute, derrière lequel les pires rats le suivent. 
Nous avons en russie ce qu’Orwell avait vu dans l’arrivée d’un big brother. Les sens des mots comme dans 1984 sont inversés. « La guerre c’est la paix »...« La liberté, c’est l’esclavage » « L’ignorance c’est la force »......
Dans le monde Poutinien, les victimes sont ainsi des Ulronazis, par la même inversion de language. Inutile de dire que la propagande, c’ est là bas la vérite...Il n’y a pas de victimes civiles en Ukraine, juste des frappes juste sur les camps secrets de l’otan,, que les Yankee maudits et leurs valets, installent sour les tobogans des squares. Mais Vladimir, sait tout, voit tout de son oeil impartial et juste, à la staline. 
Ils ont erradiqué la presse, les journalistes, toute l’élite, ne laissant que les groopies hystériques faire le buzz sur les écrans, et menacer les capitales de la fureur atomique.
Il y a là c’est vrai un élément Berlusconien qu’orwell n’avait pas anticipé. L’étau se réssère, et arrive un moment ou vérité et mensonge à force de se mélanger les pattes finissent par perdre l’équilibre. On attend donc que le clown tombe de la fenêre du vingtième étage du Kremlin. Peut être suicidé, comme un de cette quinzaine d’oligarche victime d’une curieuse épidémie, ou d’un coup de parapluie bulgare.