« La théorie du grand remplacement, souvent évoquée au sujet de l’immigration, s’inscrit dans cette logique paranoïaque, en la poussant à sa limite. »
La politique du Grand Remplacement ne s’inscrit pas dans une « logique paranoïaque » mais dans un programme politique élaboré par l’ONU et l’UE, pour éliminer la population blanche de souche, réfractaire au mondialisme par son héritage identitaire, culturel, cultuel et traditionnel.
L’ONU facilite l’arrivée des masses migratoires en Europe, qualifiées officiellement de « migration de remplacement », amenées pour faire face au déclin de la population blanche (alors que les femmes françaises sont encouragées à avorter : 220 000 avortements chaque année en France !).
L’UE travaille en étroite collaboration avec l’ONU pour mener à bien sur une très grande échelle, le remplacement de population, « l’objectif principal est de faire en sorte qu’une Europe en déclin démographique demeure une destination attrayante pour les migrants, notamment en modernisant et en révisant le régime de la carte bleue, en fixant de nouvelles priorités pour nos politiques d’intégration, et en optimisant les avantages de la politique migratoire pour les personnes et les pays d’origine, par exemple en rendant les envois de fonds moins coûteux, plus rapides et plus sûrs.. »
politique migratoire de l’Union Européenne
Le métissage, la diversité ethnique, le multiculturalisme, l’immigration permettent de noyauter et d’affaiblir les revendications patriotiques et identitaires des populations autochtones sur le long terme, favorisant ainsi la globalisation du Monde.
Ceux qui rejettent la politique des quotas de migrants sont sanctionnés par l’UE, comme en Hongrie, où Viktor Orbán refuse de se plier au diktat de Bruxelles.
Saint-Denis (film vidéo du centre-ville, plus de 90 000 habitants) n’est qu’un exemple parmi les innombrables communes de la banlieue parisienne où la population française de souche a été totalement remplacée par une population d’origine extra-européenne (berbères, arabes, africains sub-sahariens, asiatiques, indiens, etc...) en moins de 30 ans. Dans les rues de la ville, on n’entend presque plus personne parler français.
Ceci impliquant un bouleversement du paysage culturel, cultuel et ethnique.
Les prénoms donnés ne sont plus Christophe, Matthieu, Sylvaine et Estelle, mais Rachid, Mohamed, Youssouf, Fatoumata et Kakambwa.
Les nouveaux arrivants n’ont plus comme héritage Aristote, le Christ, Jeanne D’Arc, Descartes, Pascal ou Chateaubriand, mais le Coran, le Ramadan, le Zouk, le Wolof et l’arabe. (une trentaine de boucheries islamiques pour 90 000 habitants, pas une seule boucherie traditionnelle !!!), 7 ou 8 écoles coraniques enseignant l’Islam radical aux jeunes musulmans, et la grande mosquée financée par l’Arabie Saoudite flanquée de son minaret (islam radical wahhabite), inaugurée par le bon maire communiste.
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