@alinea
Ciel, la censure a encore frappé. La phrase originale : Quand j’ouvrais les yeux, elle était là,
chaude et proche, je n’osais bouger un cil, comme avec un amant qui se
serait endormi contre mon épaule, ankylosant mon bras et que le moindre
mouvement réveillerait.
Tu as raison, laissons dormir les volcans ...
Dans tes observations des vaches, as-tu noté un comportement différent des mères selon que le petit est femelle ou mâle, au moment du sevrage ? Je me souviens qu’ayant passé mon bras sur l’encolure d’une pouliche arabe de 2 ans, sans violence (suis pas Chabal quand même) mais contre son gré, il m’a fallu d’urgence lâcher prise car la mère me chargeait.