Adèle Coupechoux 25 novembre 2022 18:08

@PascalDemoriane

La question peut en effet dépasser la mesure de l’intime. Je m’en suis aperçue lors du décès d’un proche. Quand des cultures aussi différentes les unes que les autres se sont tour à tour vues reprocher soit leur indifférence soit leur hystérie.
La manifestation de la souffrance ou de la joie peuvent se traduire par une certaine pudeur, retenue ou alors une certaine exhibition. 
Nous n’avons jamais été aussi collectivement différents. Et aussi difficilement compréhensibles les uns envers les autres.
Comme vous l’écrivez ce n’est pas facile. 
Après il y a effectivement, une culture ou plutôt une dictature du faire pleurer dans les chaumières basée sur l’émotion forte, l’absence de pudeur. Des postures, des impostures, des automatismes médiatiques qui constituent un véritable marché.
Comme pour les séries et leurs saisons1 puis 2 puis 3. 
Les causes de ses dysfonctionnements dans nos sociétés comme la pédophilie, la corruption, la criminalité en tout genre, etc. pendant ce temps ne sont pas traitées et cachées sous le tapis. Ce que vous appelez à juste titre la castration politique. 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe