Mozart Mozart 28 novembre 2022 13:52

Cher Monsieur le rédacteur.

 Il semble que vous n’ayez pas encore compris comment marchaient les instances soutenant le rôle du CO2 dans l’atmosphère.

Tout d’abord sachez que le GIEC (faussement appelé expert en français), ne contient, en son sein, aucun expert. Le GIEC est une assemblée politique intergouvernementale devant décidée des actions à entreprendre pour, soit-disant, contrer les changements climatiques. Alors comment fonctionne le GIEC ? L’assemblée demande à des équipes (dont beaucoup n’ont que peu voir pas du tout d’expérience dans ce domaine) scientifiques de faire des études. N’importe qui peut y participer. Or ce domaine, la géophysique, est un domaine d’équipe scientifique aguerrie. Je dis bien équipe car elle même beaucoup de compétence. Or, sur terre, il doit exister sans doute 4 à 5 universités maximum, qui peuvent réunir de telles compétences. Ce qui est curieux, c’est que ces équipes ne sont jamais écoutées car généralement elles ont des prévisions tout à fait normales. On préfère celles qui prédisent l’apocalypse.

Donc après avoir pondu des rapports de plusieurs milliers de pages, incompréhensibles pour le commun des mortels et donc par les participants au GIEC (qui ne sont pas scientifiques), on a recours à des « résumeurs » qui vont résumer les études pour en faire des condensés d’une centaine de pages. On voit là déjà un écueil, car selon le « résumeur » certaines idées seront poussées ou non. Enfin l’assemblée va avoir accès à ses résumés. Quelle est le résultat depuis des décennies ? Les principales équipes compétentes ne détectent pas ou peu de changement du à l’homme. Elle continuent de constater un changement climatique cyclique (environ 220ans) solaire accompagné de cycle océanographiques de diverses durée. De la manière dont peuvent coïncider ces cycles, les changements climatiques peuvent être plus ou moins prononcés. Mais rien que du banal. D’après eux, nous arrivons vers le haut d’un cycle solaire.

Ceux-ci étant écartés faute de sensationnalisme, sont gardés des études plus ou moins fantaisistes, menées par des farfelus plus ou moins scientifiques, nous prédisant 5 degrés de hausse des températures et 2 mères de hausse du niveau des mers. Aujourd’hui, les données satellitaires nous donne une hausse annuelle des mer de.... 1 millimètre. Donc en 2100, le mer aura monté de 8cm.

Enfin, le GIEC fournit un rapport au journaliste d’environ 60 pages, un condensé des centaines de pages des résumeurs et des milliers de pages des équipes, ne retenant que les études sensationnelles.

Pour finir, le GIEC est une émanation de Green Peace dont le lobby a travaillé l’ONU. Que plusieurs scandales ont émaillé sa gestion. Qu’un bon nombre de prix Nobel et de scientifiques éminents ne croient aux théories du CO2. Que l’Histoire climatique de la terre nous montre que les phases de réchauffement et glaciation ne sont pas synchrones avec les changements de concentration du CO2. Que l’on peut faire tout les changements industriels demandés, il suffira qu’un volcan pète un peu fort pour qu’il répartissent dans notre atmosphère autant de CO2 que l’humanité peut produire.

En un mot, c’est comme pour les prédicteurs de la fin du monde de l’an 1.000, le GIEC et ses suppôts disent absolument n’importe quoi, sans la moindre preuve et plus c’est gros, plus ça marche.


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