@spiritwalker
J’ajoute, après ce commentaire qui invite à ne pas caricaturer, qui invite à préciser, que deux problèmes moraux incompressibles autant qu’incompréhensibles car je ne suis pas psycho-sociologue, encore moins de l’Afrique, posent problème à l’esprit cartésien :
Lorsque ça n’est pas, plus absolument nécessaire pour assurer ses vieux jours, pourquoi continuer à enfanter, enfanter et offrir à la terre de futurs crève-la-faim, miséreux, chômeurs, qui plus est la chair de sa chair, ses propres enfants ? Ensuite, comment ne pas pourrir de honte quand, ayant réussi à s’implanter en France pour ses portables, sa caf, par assistantes sociales politiquement bisounoursées associées, etc. on fait mourir un homme, ailleurs, de mort violente, de faim, car débouté, lui, de son droit d’asile ?
Comme rappelle Christian Combaz : qui dit discrimination positive ici, implique discrimination négative ailleurs.