Annie Ernaux a réussi un miracle : Créer une courant où des gens de droite et de gauche, toutes tendances confondues, se sont retrouvés d’accord sur sa valeur littéraire.
Malheureusement, c’est pour la déplorer.... Sa dernière saillie clivante sur Houellebecq, risque fort de remonter la côte de celui ci, qui préférera se taire.
C’est une chose de ne pas apprécier Houellebecq . Mais proclamer que le jury du Nobel a fait le bon choix sur sa personne,plutôt que sur cet auteur, rélève d’une vanité recuite de boutiquière, satisfaite d’évincer la concurence .