« On peut effectivement interroger en effet sur la propagation du terme anglais et sa non-traduction. Pourtant, il y a une explication simple : la danse est internationale et universelle. »
La danse est certes internationale et universelle, mais même réduite à « start-up » par nos pâles managers, la France et son enseignement n’ont pas forcément ambition de se soumettre et s’aplatir devant les diktats culturels imposés par l’impérialisme anglo-saxon, et pas plus par l’adoption généralisée du globish que dans les délires genrés prêchés par le « wokisme ».
Comme vous le précisez vous-même, les rôles « homme-femme » définis pour les couples de danseurs ne préjugent en rien ni du sexe des partenaires, ni de leurs inclinations affectives : on ne voit donc d’autre intérêt qu’imposer l’idéologie transhumaniste à cette soudaine modification lexicale, et tiens à souligner que comme apparemment bien d’autres, la bienséance victimaire que nous impose la Pensée Unique au nom de la défense des plus improbables minorités - ethniques, culturelles, raciales ou genrées, ... - opprimées commence à très sévèrement me gaver !
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations !
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