Message à tous,
L’escroquerie intellectuelle du « Je suis Charlie » était le prélude. A l’époque, le « journal » ou plutôt le ramassis de vulgarité à la solde des néoconservateurs américains était pris pour l’étendard de la liberté d’expression !
Le « Je suis Charlie » était prêt à porter la pancarte « Je suis Injecté », puis le « Je suis Ukraine »...Il porte surtout en lui la marque de la Bête : « Je suis l’esclave du mensonge ».