@César JULES
Je rêve pour ma part d’une société où l’on arrêterait jamais de travailler toute la vie durant. Mais avec une notion du travail, dont l’éthymologiie vient du mot « torturer », bien loin de ce qu’elle est actuellement.
La notion de plaisir serait fondamentale, et l’activité serait diversifiée, chacun faisant selon son gout et ses compétences, avec bien peu d’heures par jour, ou de jours par semaine.
Le monde actuel, clivé entre activité et repos, in et out, me semble une impasse. Il va de soi que l’échelle de salaires serait à revoir ; et l’accumulation mortifère aussi. Alors peut être y aurait il moins d’individus ’en colère".