l’auteur semble faire preuve de naîveté ou d’ignorance du sujet de son article, car il oubli un tout petit détail, le fait que si on excepte les invités du service publics déjà des obligés du président en exercice, les autres sont tous les obligés de leur propre employeurs, eux mêmes plus ou moins fervent soutiens du président actuel.

C’est ainsi que tous les éditorialistes dont le patron est plus ou moins opposé au président ou du moins à sa politique n’ont pas été invités. 

Bref, les éditorialistes n’avaient que deux solutions, ou bien se plier à l’ordre de leur propriétaire ou bien démissionner de leur poste, mais il faut bien comprendre qu’en dehors des agents du service publics tous les autres n’ont de compte à rendre qu’a leur propriétaire et maître à penser.