@Glosspan
Notre rosemar se radicalise à force de soutenir les positions intenables de la presse grand public sur le réchauffement climatique, le covid, puis la guerre en Ukraine.
C’est dommage, avant ces événements, il n’y avait pas la moindre trace de méchanceté dans ses articles. Elle nous parlait des fleurs, du sol moussu des forêts, du clapotis des ruisseaux...