@Adèle Coupechoux
Bonjour.

Merci de cette information qui me paraît de la plus haute importance, presque plus que l’article et les commentaires associés.

Scandaleux et dangereux tout simplement.

Même si cette réforme s’avère nécessaire, ce dont je doute au vu de ce qui en a été dit par le C.O.R. L’information Gouvernementale, se doit d’être publique, car tous les citoyens sont concernés par cette dernière.

L’utilisation des mails des « Agents » à partir des informations du site des finances est tout simplement abusif et devrait être répréhensible par la Loi.
Selon moi, c’est un usage plus qu’abusif, voir un vol des informations personnelles fournis par une catégorie de citoyen dans un but précis, en tout cas tout autre que de recevoir une information « particulière » sur les retraites.

Cette réforme n’est pas plus impopulaire que les autres, certes elle impacte peut être plus une catégorie de citoyen, mais ce procédé de communication est tout simplement l’image d’un « Etat voyou » prêt à tout, y compris diviser pour mieux régner. N’écoutez pas vos syndicats, ils vous mentent, Ecoutez moi seulement.

Ce procédé peut être encore plus machiavélique que l’ont ne le pense en fait, car si il venait à être connu, révélé incidemment, etc.. Peut augmenter encore un peu plus la « discorde » public/Privé.
Ainsi le citoyen du privé, affecté par l’impact du mécontentement de son confrère du public, qu’il considère déjà comme plus avantagé que lui. Verra sa « tolérance » aux mouvements syndicaux, disparaître, renforçant encore plus ses convictions et son exaspération.
Nul doute qu’après un nouveau déjeuner de courtoisie, les médias se feront force de montrer cette dernière, pour « casser » les fondements de cette contestation, « casser » aussi l’imagerie syndicale défendant toujours les mêmes, etc, etc..

Après un quinquennat, il n’est plus possible de dire que c’est l’inexpérience politique qui est à l’origine de cette communication. Ce gouvernement, est en train de démontrer, de mettre en pratique un concept nouveau de dictature démocratique, dans ses formes les plus viles. Ne pouvant que renforcer dans l’esprit de certains citoyens une sorte de théorie qualifiée de « complotiste » par eux et leur assesseurs médiatiques.