« au cas où M.Y, très riche, voudrait prendre le contrôle de l’immeuble : il fait voter des travaux ruineux en profitant de l’absence des autres »
Hypothèse absurde : ledit copropriétaire « très riche » ne dispose que de ses propres tantièmes. Il ne peut donc pas imposer sa volonté à tous en profitant de l’interdiction de vote d’un ou deux copropriétaires défaillants !