Autrement dit :
Etant donné — probablement dans plus de 80 à 90 % des cas (au doigt mouillé) — qu’il n’y a pas de candidat de 1er tour dont dont on partage l’ensemble des éléments du projet, force est de voter pour celui (ou celle) dont on est le plus proche ou, à défaut, le moins éloigné. Donc, vote peu ou prou par défaut.
Quant au vote de 2e tour, soit son candidat du 1er tour est qualifié, et l’on vote pour lui, soit il a été éliminé, et l’on vote blanc s’il n’y a pas de risque de victoire du (ou de la) pire des finalistes, soit l’on vote pour le moindre mal, estimé comme tel en fonction des valeurs auxquelles on est attaché.