@pipiou
Et la pollution qui vous tombe sur le museau n’existe pas non plus. Et les « pics de pollution » n’existent pas davantage.
Lorsque toute une population est dans l’obligation de « respirer » des « toxines atmosphériques », posez vous la question de savoir si ces toxines vont leur faire du bien à la santé ou les « intoxiquer ».
Bref, effectivement, ce n’est même pas la vérité qui recule, mais des cagoules et des oeillères qui sont posées pour refuser de voir les faits.
Les faits sont ceux-ci : « les hospitalisations en soins critiques connaissent un pic lorsque la pollution connait un pic. C’est difficile à comprendre pipiou ? Il y a une corrélation parfaite entre »pic de pollution« et »pic d’hospitalisations« en soins intensifs
Il est absolument impossible que le phénomène de contamination par des »virus« amène autant de malades dans les hôpitaux en si peu de temps. Les »pics« de maladies respiratoires ne peuvent pas s’expliquer par la contamination. Les gens tombent »malades« »en même temps« , dans un laps de temps très court. La »contamination« est »impossible« . En revanche, être »baigné« dans la même atmosphère provisoirement très polluée, cela est une évidence que pipiou refuse d’examiner.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/02/28/meteo-et-pollution-qu-est-ce-que-l-inversion-thermique-qui-plaque-la-pollution-au-sol_5429330_4355770.html
Pipiou tente très maladroitement d’attribuer les épidémies de maladies respiratoires hivernales à des »virus« , sans même savoir que ces pics de maladies respiratoires interviennent lorsque les taux de pollution atmosphérique augmentent, lors des inversions thermiques (et ces inversions thermiques ne sont pas uniformes. La durée et la »hauteur" du plafond de l’inversion sont d’une extrême importance pour comprendre la portée du phénomène).
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