« Le droit du justicier »
Ce qui nous est souvent montré, dans le cinéma américain, c’est le scénario type qui met en scène un justicier (Clint Eastwood en est le prototype parfait), un méchant particulièrement abject, une institution judiciaire qui, au nom du respect des libertés individuelles, protège le méchant abject du justicier noble.
Le justicier use alors de moyens illégaux et parvient à neutraliser le méchant abject.
Résultat : Les Forces de l’Ordre, au nom de leur noble mission, n’ont pas à se préoccuper du droit du citoyen.
gAZi bORAt