On se rassure comme on peut en se cachant ce que tout le monde peut voir et
entendre depuis un moment déjà un peu comme le gentil employé de la charmante marquise.
C’est moins grave qu’il n’y paraît, pas besoin de mobiliser le grand Stanley
Kubrik qui en grand artiste pressentait les ravages du néolibéralisme pour
faire peur. Qu’on prenne au sérieux la démocratie et tout ce qui va avec comme
une presse indépendante des puissances financières et un service public de l’information
responsable devant le parlement et non le gouvernement et des institutions
favorisant la représentation de la diversité politique du pays, le respect des
votes et donnant respect et responsabilités aux pouvoirs intermédiaires. Ce serait
un bon début.
(à suivre)