« mais aussi quelques aspects positifs comme l’éducation, »
On a beau y mettre de la bonne volonté pour nous justifier. Car la contradiction vient rapidement.
« Mais comme l’a montré l’indépendance de l’Algérie il reste un problème de ressources humaines, - en matière de cadres, de professions à haute technicité et de qualité des nouveaux dirigeants -. »
A t-on vraiment eu l’intention de les former pour les rendre indépendant ? Ou a t-on fait semblant. Ce qui est sommes toute une attitude naturelle, surtout de la part des Occidentaux.