@Garibaldi2
Il y a une
deuxième dimension, il me semble, dans votre remarque. C’est bien entendu que pour
ceux qui ont vu leur vie écrasée ou interrompue par la volonté d’autrui, pour
les non croyants, cette injustice ne peut être réparée. C’est une blessure
indépassable qui peut nous enfouir si nous ne l’apprivoisons pas comme on peut. Sans l’illusion
de pouvoir la faire disparaître ou guérir. Ce qui nous rend encore plus
vigilant et impatient quant aux injustices à notre portée.