Ces luttes ne datent pas d’hier, en 1982, le ministre de Savary a laissé son nom au plus éclatant échec du Mitterandisme sur la « création d’un grand service public unifié et laïque de l’éducation nationale ». Toute cette affaire se termine en 1984 après une manifestation monstre.
Macron ne doit avoir aucune envie que les propos « hasardeux » de sa ministre réveille le sujet.
Seuls quelques insoumis rêvent du retour de cette guerre picrocholine.