après les clichés, les lieux communs et la platitude mièvre, Rosemar découvre l’adverbe « absolument » :
"absolument
somptueux."
"absolument
génial"
puis
« absolument envie »
"Juliette
Drouet est absolument
indispensable
"
bon,
et pis après, comme d’hab, on se farcit les superlatifs et
qualificatifs inutiles : fabuleuses,
on a même droit à une synthèse de
ses tics : " cela
devient absolument
fabuleux :
c’est éclairé, c’est plein de lumières."
Rosemar, c’est absolument somptueux et
fabuleusement génial, on ne s’en lasse pas : on se sent tout de
suite intelligent quand on la lit.