@bernard29
Votre argument « referendum de 1991 » est souvent utilisé mais ces chiffres ne prouvent rien.
En effet, l’est de l’Ukraine comme l’est de la France ont beaucoup voyagé entre pays.
Imaginez un référendum en Alsace en 1900 avec la question « êtes vous pour une Allemagne indépendante ou pour une Allemagne intégrée dans un bloc atlantiste », les alsaciens (allemands à cette époque) auraient pu voter pour l’indépendance, ce qui n’aurait pas exclu un vote « pour le rattachement à la France » fin 2018 après la « reconquête » de l’Alsace par la France.
Contesteriez-vous aujourd’hui que les alsaciens sont en majorité francophones et francophiles ? diriez-vous qu’ils ne sont français que suite à une pression militaire d’une minorité agissante ?

Mais absolument OK avec vous sur "les régions peuvent changer d’avis et demander leur autonomie ou indépendance mais il faut un vote démocratique dans ces régions spécifiques« 
C’est donc cela la solution, base de négociation : organiser ce vote démocratique.

En rappelant que ce vote a déjà eu lieu en 2022, avec une très forte participation et très forte majorité pour le rattachement à la Russie, même si vous douterez sans doute de l’aspect démocratique (les conditions étaient effectivement »bizarres" en pleine guerre, donc à valider par un nouveau vote)