Je me souviens que, dans le milieu des années 1940, mes parents élevaient des lapins.
Nous profitions de la viande et on étendait et séchait soigneusement les peaux. Et l’on m’avait confectionné un manteau de fourrure en peau de lapin.
Et à l’école, j’étais loin d’être le seul. Dans l’immédiate après-guerre, on ne faisait pas le difficile tant en matière de nourriture que de vêtements. Déjà bien content d’en avoir.