Hervé Hum Hervé Hum 15 octobre 19:30

@Réflexions du Miroir

A chaque instant de votre vie, vous êtes en permanence dans la complétude entre votre imaginaire et la réalité. Donc, entre votre monde virtuel et la réalité.

Sans cela, le monde physique ne pourrait pas exister, il serait tout simplement comme pétrifié, figé et impossible d’évoluer de quelque manière que ce soit.

la mécanique quantique fait écrire n’importe quoi et on est plus dans l’absurde voir la bêtise que dans la science dès lors où on veut se prendre au jeu de la comprendre avec le mode de pensée qui est toujours le même depuis des milliers d’années. Or, comme le soulignait très justement Einstein (le citer me donne l’impression de jouer au point goldwin !) « on ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensé qui l’a engendré ».

Bref, aucune expérience viole le principe de causalité dans la réalité, seulement dans l’imaginaire humain (tel le fameux chat à la fois vivant et mort), mais là, c’est normal car la différence fondamentale entre l’imaginaire et la réalité, c’est le sens de la relation de dualité qui les relies.

C’est à dire, dans la réalité, c’est l’imaginaire qui obéit à la causalité et ceci pour 2 raisons fondamentales que sont la communauté des imaginaires et pour donner sens à l’existant. Sans la réalité, chaque imaginaire est pris dans son propre monde et ne peut pas communiquer avec celui d’autrui, sauf en posant des lois communes. Donc, via la réalité.

Prenez un jeu virtuel quelconque et faites en sortes que chacun fixe les règles qu’il veut lui et regardez ce qu’il s’y passe ! Car le principe de causalité est inviolable (sauf une exception mais sous condition de causalité) dans la réalité et donc, vous devez appliquer le principe de causalité au jeu virtuel si vous voulez qu’il soit ouvert à plusieurs joueurs. S’il y en a qu’un, vous pouvez modifier les règles à votre guise.

Car dans votre imaginaire, vous êtes qui vous voulez, où, quand, comment vous voulez. Vous y êtes le Dieu tout puissant, sauf si vous abandonnez votre imaginaire pour celui d’autrui comme aujourd’hui les humains de natures protectrices avec les natures prédatrices et dont on se lamente !


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