Étirév 6 novembre 2024 13:34

Quel que soit le pays et l’élu (la victoire de K. Harris n’aurait rien changé sur le fond), le divertissement des élections présidentielles sert à continuer de faire croire au peuple, au travers d’un « suffrage universel passionnel », qu’il se gouverne lui-même. Et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible.
En hâtant le chaos et l’effondrement de l’Empire Américain, Donald Trump (à l’instar de « l’agent » oligarchique, Gorbatchev, en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City », cet épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial » (Wall Street n’est qu’une succursale de la City et l’a toujours été), car le seul objectif des mondialistes est l’avènement d’un gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
NB : « Pour l’élite qui opère au niveau profond du pouvoir, le monde est un terrain d’affrontement où toutes les formes de guerre sont permises. L’information est une arme aussi cruciale que l’argent pour la lutte contre les opposants politiques, mais aussi pour le contrôle de l’opinion publique et la manipulation de la démocratie. Les acteurs profonds font l’histoire (history) en racontant des histoires (stories) au peuple. L’expression « état profond » pourrait donc aussi désigner le sommeil hypnotique dans lequel les vrais pouvoirs maintiennent la masse des citoyens pour gouverner à leur insu et, surtout, les amener à approuver la guerre. » (L. Guyénot)
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