Deux faits sont clairs :
— D’une part, certains abus déjà trop visibles de la puissance informatique par des directeurs financiers, commerciaux, R.H. et autres tenants d’un libéralisme parfaitement méprisants tant de l’usager que des bienfaits de l’ergonomie et de la normalisation ;
— et d’autre part, certains débuts déjà visiblement agressifs de l’utilisation de l’ I.A. par les mêmes ainsi que par une classe politique parfois dévoyée et/ou de trop faible qualité.
Deux faits qui ne nous promettent pas que des matins qui chantent tant le progrès technique et scientifique n’est bénéfique que pour autant qu’il reste l’outil de mains à la fois expertes, humanistes et morales !
Nous pouvons douter que ce soit le cas en ce moment.