@Aristide
On pourrait sans doute regagner un peu de natalité avec une politique plus volontariste (mais couteuse), mais on ne reviendra jamais à la famille de 3 enfants visée à l’époque giscardienne, et moins encore aux familles nombreuses des années 50/60, hormis dans les familles immigrées de première génération (voire aux sorties d’école maternelles et primaires). On vise à remonter à 2, déjà jugé utopique.

Les modes de vie et mentalités ont définitivement changé, le travail est considéré prioritaire et émancipateur pour les femmes. Autre aspect sur la perte de cohésion familiale : 25% de ’’familles monoparentales’’, ce qui absorbe une grande part des aides à la famille sans augmenter la natalité. Le nombre de places en crèche subventionnée est plus élevé que jamais.