Oui, Aurélien, et dans quelque temps, quand les quelques compagnies de production et distribution d’energie se seront arrangées la cravate pour se partager le marché et maintenir les prix (car c’est aussi cela le libéralisme) le pékin moyen regardant son compte en banque à la fin du mois pourra soupirer : « l’énergie (m’)a tout pris ! »
Et merci à l’auteur : bien à vous.