On peut évidemment se « palucher » gaiement à propos de ces succès de l’ingénierie française.
Ce qui est moins « bandant », c’est la quantité colossale d’énergie nécessaire au bon fonctionnement de ces bijoux technologiques, énergie tirée principalement des puits de pétrole ou du gaz aggravant potentiellement les problèmes de pénurie d’eau. Ce qui est une façon originale, avouez-le, de se mordre la queue, pratique qui ne rend pas sourd, elle !