Ces trois trucs ont pu jouer pour renforcer certains mécanismes, mais le problème à la base reste la surévaluation périodique d’actifs et le crédit excessif qui en découle.
Cette crise était archi-prévue. On peut appeller cela ’escroquerie’, ’cavalerie’, ’pyramide’, ’schéma de Ponzi’, ’exubérance irrationnelle’, ’bulle’, etc ... C’est toujours pareil.
L’idée de base, c’est que les journaux ne présentent que des nouvelles positives le temps que les établissements financiers aient réussi à sortir du risque en le diluant au maximum ailleurs. Et un jour, le roi est nu.
J’ai lu un article il y a seulement 3 mois d’un économiste US disant en gros « les liquidités sont inépuisables ».
Je le redis encore : la crise n’est pas finie. Nous commençons simplement à évaluer l’impact sur l’économie réelle. Watch the perfect storm.