Bonjour Pierre,
Votre définition de l’actif me laisse un peu dubitatif car, même dans le cas où les créanciers ne viendront jamais s’emparer du Louvre ou de l’Arc de Triomphe, nous sommes, es qualité de débiteurs, sous le joug de ces pays qui sont assurés de nous faire signer à n’importe quelle condition... Rappelez vous simplement du contrat des chars Leclerc... Je ne vois pas trop ce qu’il a pu apporter à notre pays si ce n’est qu’un déficit d’exploitation...
Mais je ne voudrais pas vous entraîner dans un raisonnement hors sujet de votre excellent article...
Amicalement, Philippe