Le choix du titre choc de cet article est délibéré (y compris celui du mot « fou », d’ailleurs assez conforme au parler de l’époque et moins injurieux que d’autres termes cités dans l’article) : il s’agit de montrer la violence de ce massacre, violence que l’expression « extermination douce » me paraissait atténuer au regard des souffrances endurées et de l’inertie volontaire des gouvernants dont la responsabilité est grande dans cette affaire.