Le totalitarisme d’aujourd’hui n’est plus celui de la force, mais celui de la manipulation. Quand tous les grands médias lechent les bottes des pouvoirs, par l’intermediare de journalistes promus par les financiers amis de Nicolas, on peut faire croire ce que l’on veut.
Le plus grand danger démocratique aujourd’hui, c’est le journal de 20h : abrutissement , désinformaton, sanctification des choix des gouvernants, poncifs du politiquement correct, experts pro-libéraux, la peur pour provoquer les reflexes securitaires, bienvenue à 1984.