vivelecentre 28 novembre 2007 16:21

Desolé de vous decevoir sur la vraie nature de votre herault, au Venezuela ( les premiers concernés ) c’est de notoriété publique

Dans la presse française , il y a bien quelques echos mais cela ne choque pas plus que àa compte tenu de l’aspect déjà sulfureux du personnage

Par exemple :

«  »Ivan Erhel

La Presse

Collaboration spéciale

Caracas

Qui aurait cru, du temps où il n’était qu’un modeste fils d’instituteur, qu’Hugo Chavez-Frias installerait son père gouverneur de l’État de Barinas, son frère ministre de l’Éducation, et son cousin à la vice-présidence de l’entreprise publique qui gère les immenses réserves pétrolières du Venezuela ?

c’etait sans compter sur la volonté inébranlable de cet homme hors du commun qui se veut leader d’un tiers-monde usé par les réformes du FMI. La « révolution bolivarienne », c’est lui. Et malgré une formation universitaire basique, il est le seul à savoir doser cet improbable mélange de socialisme participatif et de capitalisme de rentes.

Trahi dès le début de son mandat par l’ancienne classe dirigeante, formée pour gérer le pays, il fait plus confiance à sa garde rapprochée qu’à l’élite traditionnelle.

Chavez, père et fils

Cela est particulièrement frappant dans son État natal de Barinas, au point que l’on parle de « la famille royale de Barinas ». Non seulement son père, Hugo de los Reyes Chavez y a été élu gouverneur, mais il a nommé son fils Argenis, petit frère d’Hugo, au poste clé de secrétaire d’État de Barinas. Le maire de la capitale, Barinas, est un cousin du président. La seconde ville, Sabaneta est dirigée par un autre de ses frères

Pablo Oquendo, coordinateur du parti d’opposition Primero Justicia rit jaune : « Ici, on ne peut rien faire sans un Chavez dans sa poche ! Nous vivons sous le caïdat des Chavez-Frias ».

Pour la Copa America, Adelis Chavez, frère de Chavez et vice-président du comité d’organisation, a fait construire un stade de foot immense, dans une région où le sport roi est sans conteste le baseball.

Au grand désespoir de Pablo Oquendo : « Ce stade est une ruine. Les Chavez gèrent l’État dans la plus grande opacité. Il nous est impossible de savoir qui construit quoi et avec quel argent, et nos plaintes s’empilent au tribunal sans que rien ne change. »

Pour Primero Justicia, l’indépendance de la justice n’existe pas au Venezuela. Le secrétaire général du parti, Carlos Ocaris souligne : « Le contrôleur général de la République est un ami personnel de Chavez, ancien cadre de son parti. Et le juge suprême, représentant du Ministère public, Isaïa Rodriguez, est un ancien vice-président de Chavez. Comment voulez-vous que nos requêtes devant la justice aient la moindre chance d’aboutir ? Cela ne se limite pas à la famille du président, mais à ses amis, aux amis de ses amis, à leurs épouses, etc. »

Gustavo Hernandez, un des cadres du parti dissident du chavisme, le PPT (Patria para todos) estime qu’ « il n’y a aucune loi qui empêche la famille du président d’assumer des charges publiques ». S’il ne nie pas l’existence de la corruption, il précise : « Avant, elle partait du Palais présidentiel. Aujourd’hui, c’est à partir de là qu’elle se combat ». À sa connaissance, « aucune plainte sérieuse n’a été déposée à l’encontre de la famille du président dans sa gestion de l’État de Barinas ».

En 1998, lorsqu’il a été élu, Chavez a déclaré qu’il souhaitait que sa famille reste en dehors de la chose publique. Entre-temps, il a changé d’avis et sa famille est aux commandes.

et puis aussi :

http://bp0.blogger.com/_Qzxi0Y2oYgA/R0mvn-f2SZI/AAAAAAAACVw/nqzGMpkR3tw/s1600-h/CLAN+CHAVEZ+ARTICULO.jpg

là pas trop le temps mais je vais vous chercher d’autre source et en oparticulier , l’article cité dans match

je sais match..


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe