rodofr rodofr 26 novembre 2007 18:24

A l’heure du tout people, où les artistes se demandent ce qui se passe pour mériter un pareil monde sans faire une analyse poussée sur leurs responsabilisées, ou l’individualisme et l’argent reigne à outrance, pour ne pas dire le cynisme et où la beauté du cœur s’enfonce dans les lumières d’une époque lointaine. L’antidote Daniel Balavoine, un oiseau devenu rare, qui reste dans la mémoire collective comme celui qui avait des tripes, vient nous rappeler que rien n’est impossible. Quelques paroles, du courage et le coeur fera le reste. Abandonner vos querelles d’épiciers face à internet qui dévore vos marges, réveiller vos consciences et oser l’amour ! le vrai ! Ce don que vous avez reçu n’a d’autre fonction que d’être le porte voix des plus faibles, des anonymes, qui cherchent une voix dans le désert, un espoir qu’ils seront entendus et qu’une communion entre tous peut être possible. Mais le spectacle des artistes d’aujourd’hui est affligeant. Cherchés à poursuivre les internautes à coup de lois liberticides, flicages en tout genre à travers la commission “Olivennes”et de l’autre, jouer les humanistes d’un jour pour les plus démunis d’entre nous, c’est montrer votre cynisme en pleine lumière comme pour le président de la “Fnac”, grand superviseur de cette commission. Les règles du jeu ont changés et il faut s’adapter. Voilà tout. Mais pas en allant lorgner du côté du populisme, où tout est bon pour supprimer ce qui reste comme liberté public, pour satisfaire un modèle économique aux abois. Sinon la parole libre vous quittera pour toujours et personne ne voudra plus vous écouter. Artistes, réveillez-vous et soyez-les plus libre d’entre-nous. On n’a besoin de vous à l’heure des grands changements.


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