jrr 14 décembre 2007 11:21

L’affiche du « mouton noir » avait pour but de dénoncer, faut-il le rappeler, le laxisme des politiciens socialistes et écologistes (les « roses-verts ») et des centristes envers les délinquants étrangers, dans le contexte de viols collectifs commis en territoire suisse par des réfugiés - qui d’ailleurs n’étaient pas des Africains. Ni plus, ni moins.

A partir de cette affiche, les ennemis politiques de Christoph Blocher - c’est-à-dire l’ensemble des autres partis gouvernementaux qui ont perdu du terrain par rapport à l’UDC, ont tenté de diaboliser Christoph Blocher en lui faisant un procès d’intention, l’accusant de racisme, et en relayant largement cette « information » dans les médias étrangers et jusqu’à l’ONU : ils ont donc fait exactement ce qu’ils reprochent à Christoph Blocher : ils l’ont traité comme un « mouton noir » au sens moral du terme (« il ne respecte pas la concordance », « il est autoritaire », « il veut dominer les autres », et autres reproches filandreux). Ils ont tenté de faire de Christoph Blocher un véritable mouton noir, « populiste, xénophobe et raciste ». Une campagne de dénigrement largement orchestrée qui a fini par porter ses fruits véreux.

Alors que Christoph Blocher n’a commis aucun acte délictueux - sinon d’être le politicien le plus populaire de Suisse. Et ça, bien sur, c’est un crime inadmissible pour les médiocres qui siègent à Berne - qui ont donc ourdi le complot destiné à l’évincer, en s’appuyant sur la haine viscérale des socialistes et des écolos pour toute autorité, sur la rancune des centristes après l’éviction parfaitement justifiée de Ruth Metzler, sur la haine que révèlent les rictus des Calmy-Rey et autre Couchepin, car Christoph Blocher est, notamment, un « mouton noir » beaucoup trop curieux par rapport aux chiffres de « Santé suisse »... Il est vrai que Christoph Blocher n’a pas besoin de puiser dans les caisses publiques, ni de faire du lobbying lucratif.

Pourquoi Christoph Blocher est-il si populaire en Suisse ? C’est tout d’abord son courage politique face à l’UE - et ici l’a-plat-ventrisme et les rodomontades de Couchepin et Calmy-Rey ont bien montré les limites de ces politiciens. Son courage politique face aux abus de l’aide sociale et à la chienlit socialiste. Son intelligence face aux problèmes complexes de l’économie moderne en voie de globalisation. Et le « peuple » a bien compris que Christoph Blocher est un politicien intègre, courageux et charismatique - d’où sa popularité qui a fait rapidement pâlir l’étoile des autres « vedettes » de Palais fédéral. Autant de crimes impardonnables.

De même que Chirac a tout fait pour évincer Nicolas Sarkozy en France, en utilisant les moyens les plus abjects, les gargouilles du Palais fédéral ont organisé les magouilles successives destinées à évincer Christoph Blocher. Il n’est besoin que voir leurs sourires faux pour comprendre ce qui s’est passé. Ces gens étant prêts à n’importe quelle bassesse pour défendre leurs prérogatives de carriéristes rusés et de politiciens médiocres. Des manoeuvres particulièrement lâches, estime pour sa part Mme Suzette Sandoz (droite libérale).

Après cette éviction, je souhaite plein de courage à Christoph Blocher pour mener une opposition constructive face aux rats qui veulent faire de lui le « mouton noir » de la politique fédérale. Sachant que sa popularité est intacte et que la population suisse n’est pas faite que de moutons aveugles.


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