ZEN ZEN 20 décembre 2007 19:50

« Entre les interprétations et le fait brut, je choisis le fait brut, ce qui me permet de le comprendre dans ma logique militaire et non dans des fumeuses explications sociologiques ou philosophiques. »

Merci Emile pour cette franchise. Jamais jusqu’ici vous n’avez été si clair . Vous touchez du doigt le coeur de votre méthode historique si particulière. ’Interpréter ne veut pas dire inventer..Pas plus qu’en journalisme , en histoire n’existent de "faits bruts.

Lisez un peu Marrou, procurez-vous un manuel de terminale philo sur la méthode historique et lisez les articles de Paul Villach , qui insiste toujours sur la distinction entre « le terrain » et la « carte ». Cela devrait vous parler...


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