Emile Mourey Emile Mourey 6 février 2008 22:23

@ Savinien

Si les sociétés savantes et les archéologues ne s’étaient pas contentés d’à peu près dans les traductions des textes anciens, s’ils avaient fait preuve d’un peu plus de réflexion dans la logique militaire, il n’y aurait jamais eu d’affaire Alésia.

Cette affaire n’est pas l’oeuvre du diable mais une histoire de fous : des fous qui se disaient pourtant intellectuels.

Et puis, a suivie la querelle des clochers : Les uns pensent à Lise , les autres pensent à l’aise. Et puis l’opportunité extraordinaire de faire du papier pour des revues et périodiques pseudo-historiques en mal d’inspiration.

Le drame, pour moi en tout cas, est que mes adversaires utilisent la querelle stérile d’Alésia pour dire "on ne veut pas recommencer pour Bibracte et Gergovie, la polémique qui a eu lieu pour Alésia" Point final !

Alésia ? Dans toute l’histoire de l’archéologie des champs de bataille, il ne s’est jamais trouvé de site qui présente autant de vestiges concordants et probants que celui d’Alise-Sainte-Reine.


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