anny paule 7 janvier 2008 18:02

@Gilles

Dans votre commentaire, il y a tout et son contraire... des choses justes (« débilité » du projet, division pour régner, effet d’annonce, pleins pouvoirs pour ceux qui embauchent...) et d’autres, dont on se demande ce qu’elles apportent (Sarko n’a rien à voir avec Mao, Guevara ou Castro)...

La question de l’actuel gouvernement et de l’ultralibéralisme qui le nourrit, c’est avant tout un refus de reconnaître à l’Homme (ou la Femme) son humanité : perçu comme un moyen comme un autre de faire fructifier le capital, il se doit d’épouser les règles édictées par ce même capital dont notre gouvernement est seulement le représentant.

Si tous, quel que soit notre statut, perdons de vue cet aspect, tous les abus seront possibles, et la division instaurée, les discours des médias, la répression organisée feront le reste...

Nous sommes dans une ère de régression sociale telle que nous ne ferons rien sans une prise de conscience collective... or, le collectif est évacué au profit de l’individu ( individu qui ne signifie pas l’humain, hélas).

Quant à l’article de l’auteur, il est très intéressant et cerne bien la problématique du moment. Merci à l’auteur.


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