Un supercalculateur peux servir, effectivement si les programmes demandent une grande quantité de calculs.
Il existe une alternative : le calcul partagé volontaire, à l’instar de [email protected], et maintenant des projets BOINC.
A l’heure où on demande de réduire partout les dépenses, cette alternantive peut-elle s’apliquer si ce supercalculateur sert à la recherche sur le cancer ?
L’Etat aurai pu "payer" les "presques" bénévoles, et ainsi participer au pouvoir d’achat des ménages avec un système de calcul partagé rémunéré. Mais celà... c’est de l’utopie.