@ Zen
Dans l’interview qu’elle a accordée à Sciences et Avenirs, madame Danielle Stordeur remarque que les changements climatiques n’ont pas joué autant qu’on l’a cru sur l’occupation humaine. Les populations se sont adaptées. En ce qui concerne le plateau de Chassey-le-Camp, c’est le sol plutôt caillouteux qui le rend peu cultivable. La région, dans ses parties montagneuses (peu élevées), surtout sur les pentes, est ainsi . C’est le domaine des buis sauvages, plante dont l’antiquité est attestée. La toponomye en conserve le souvenir.