@ Dilettante
Rectificatif : cette traduction n’est pas de moi mais de l’abbé Landriot.
Il reste de lui (Eumène) quatre panégyriques, dont celui de Constance (vers 296) que l’on trouve dans la collection des latiègyriciveteres (Paris, 1643) et qui ont été traduit par l’abbé Jean-Baptiste Landriot, 1854.