l’auteur
"Schumpeter avait bien décrit la destruction créatrice, mais la destruction tout court fait désormais partie de l’arsenal de l’analyse économique."
Mais peut être qu’arrivé à bout de course, le capitalisme a besoin d’une destruction totale pour se reconstruire ? Tel le Phenix, il renaitra de ses cendres ; et ce tant que l’appat du gain sera encouragé, considéré comme un modèle de société.
Une bonne guerre, voilà ce qu’il nous faut. Et c’est pas nouveau comme idée.