ddacoudre ddacoudre 21 février 2008 00:11

 

Bonjour lomig

Intéressant et sans surprise. Les libéraux capitalistiques confondent toujours l’état républicain avec la puissance monarchique ou l’état patron.

Comment traduisez vous donc l’exercice de la souveraineté populaire, le droit des peuples de se prononcer sur tout ce qui organise son existence y compris la loi du marché pour laquelle par leurs comportements sociaux et politiques ils fixent la valeur des échanges.

Je suis un libéral et la différence entre vous et moi ce situe à ce niveau : Tout individu et libre de commercer dans son seul intérêt, et il est normal qu’il soit propriétaire des fonds et du travail qu’il engage. Mais quand pour poursuivre ses fins il demande l’aide d’un tiers il ne peut se sentir dédommagé parce qu’il aura contracté un louage de la force de travail de l’autre qui en toute équité, afin de ne pas lui nuire comme le prévoie la philosophie libérale, est en droit de prétendre à une part de la richesse qu’il a contribué à produire à auteur de sa participation.

Ensuite le droit à la propriété n’emporte pas à celui qui le détient de disposer de l’existence d’autrui, ni d’imposer des conditions d’exercice d’une activité qui nuit à la santé des autres.et les hommes sont libre de désigner les secteurs qu’ils veulent ou non soumettre à la recherche d’un profit ce qui ne nuit nullement au commerce de ces activités ni à leur compétitivités, car chacun peut trouver son intérêt personnel à ce qu’il en soit ainsi..

Autre point lorsque un individu ou un groupe d’individu de par leur pouvoir ou puissance commerciale sont de nature à imposer leurs dictats au peuple et au commerce sans que ceux-ci les aient élu expressément il y a lieu de les dissoudre en des unité concurrentes ou de les nationaliser.

En autre lorsque l’intérêt individuel ne coïncide pas avec l’intérêt de la collectivité, ou vice versa les individu sont fondés au titre de citoyen et au nom de sa puissance républicaine de définir des orientations pour les quelles chacun de ses membres ne trouvent pas dans l’immédiateté un intérêt, et  dont l’usage et utilité collective ne se dévoilera qu’à long terme.

Le dernier point est que le libéralisme capitalistique ne défini jamais comment s’exerce le droit de propriété de ce qui n’ont qu’en commun au même titre qu’eux le bien public.

Il ne serait pas stupide de délivrer un titre de propriété inaliénable de l’état comme cela l’on ne pourraient plus contester à l’organisation de ce droit de propriété de fixer des règles à la loi du marché ou d’être reconnu comme un élément à par entière de la loi du marché.

Dans les entreprise les actionnaires élisent leur représentant là les « actionnaires » de l’état éliraient les leurs.

Cette approche libérale de ton ami est un remake du XIX siècles qui supposaient que le contrat mettrait un terme à la soumission au plus puissant qui n’a besoin que d’esclave.

Conditions que fait re rentrer le libéralisme par la loi du marché que les détenteurs de capitaux organisent quand il n’ont pas en face la puissance du peuple qui est dépositaire du bien public.

Je ne crois pas que le libéralisme est dit qu’il fallait donner le pouvoir aux seules banques d’émettre de la monnaie, ce qui est le propre et le pouvoir de tout individu par l’émission d’une dette, et de disposer ainsi de la puissance financière au titre de quelque individu et reconstituer ainsi un pouvoir monarchique qui disposent du moyen de décider qui peut ou pas commercer, amusant non !

Je crois que quand l’on veut soutenir que certains on le droit d’exploiter les autres, il ne faut pas prendre le libéralisme en otage, mais dire clairement que l’on est un capitaliste convaincu.

Je crois que ton ami comme Madelin en est au libéralisme d’école.

Merci pour cet échange. Cordialement.

 

 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe