Soldera. Site superbe, mais vin un peu cher à mon coeur... De toute façon, je suis du temps du Biondi Santi qui est encore bien bath. Parlant d’ardeur, je déduirai avec optimisme, de cet l’aveu de la bouche même du Barde, qu’il a vécu jusqu’à cent ans...
J’attends maintenant votre prochain poème, avec cochinillo asado, xistu et Vega-Sicilia, dans les collines de Navarre, un soir de San Firmin et à la manière de Montherlant... On verra s’il aura aussi l’heur de plaire aux jeunes Bretonnes sensibles... On demande plus à qui a beaucoup.
Un plaisir de vous lire
Pierre JC Allard
Je vois que l’amour de la vie est un sentiment naturel chez l’amateur de Bourgogne comme chez celui du Brunello (de chez Gianfranco Soldera ?).
C’est aussi mon but. Et ça continue... comme le disait si justement ce sacré farceur de William " En toute chose on est plus ardent à la poursuite qu’à la jouissance " (Le marchand de Venise).