Philou017 Philou017 18 mars 2008 17:23

La corrélation apparait évidente dans bien des cas. Le fait qu’on ne sait pas ce qui déclenche la SEP ne doit pas être pris en ligne de compte. Le principe de précaution devrait être appliqué. Il ne l’a pas été et aujourd’hui des milliers de personnes souffrent d’affections graves.

De plus le vaccin est soupçonné de déclencher bien d’autres affections que la SEP (vois mon intervention ci-dessus et l’article d’hier : www.agoravox.fr/article.php3 ).

Devant tous les doutes et les soupçons, ce vaccin devrait être retiré.

Mais l’institution médicale ne veut sans doute pas d’une remise en cause de ce genre qui jeterait le trouble sur l’ensemble des vaccinations. De plus, ça couterait tres cher aux industries pharmaceutiques. Il est scandaleux que la plupart des études soient faites par des gens ayant des intérêts dans le lobby de la vaccination. Harper est un des rares ayant fait preuve d’un peu d’objectivité.

Cette affaire montre bien la prédominance des intérêts financiers sur l’intérêt général.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier les effets généraux à long terme :

Ces inoculations se font au mépris de toutes les règles de prudence en usage pour les traitements médicaux (Primum non nocere). Elles sont « réputées » inoffensives et toujours efficaces, sans que jamais la moindre étude épidémiologique sérieuse n’ait été effectuée... Curieusement, les diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, réputées moins dangereuses et plus efficaces.

* Ces vaccins contiennent vraisemblablement des substances cancérigènes et des outils de manipulation genetique eux-mêmes cancérigènes et tératogènes pour les derniers vaccins obtenus par génie génétique.
* Ils peuvent être contaminés à tout moment (lors de la conception de départ ou lors des manipulations nécessaires à la fabrication du produit fini), soit par des prions (sérum de veau) ou si l’on a utilise d’autres milieux de culture bovins, comme le BCG qui est cultive sur de la bile de boeuf), soit par des virus connus ou inconnus encore.
* De par les additifs, les vaccins modifient le terrain bioelectronique, ouvrant la porte à toutes sortes de maladies : allergies, athérosclérose (métaux lourds), etc.
* Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (type Ebola), réveiller des cancers latents ou générer des maladies dites auto-immunes (sclerose en plaques par exemple).
* Ils risquent de venir modifier le capital génétique des gametes (ovules ou spermatozoides) et donc de déclencher la naissance d’enfants monstrueux (teratogenese) dans la descendance immédiate.
* Ils spécialisent par ailleurs le système immunitaire de l’organisme à la fabrication d’anticorps, au détriment des autres mécanismes immunitaires comme les CD4, et engendrent de ce fait à la longue un effondrement immunitaire, favorisant le développement du sida, sida d’ailleurs dont l’origine virale est contestée..

 

L’obstination financiaro-médiacle des vaccinations de masse :

Dès 1974, l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) débute un programme gigantesque, financé notamment par la Banque mondiale : Vacciner tous les enfants de la planète contre 6 maladies : coqueluche, diphterie, poliomyelite, rougeole, tetanos, tuberculose. Cette stratégie de soins selectifs va à l’encontre de la politique globale de soins de santé primaires adoptée par l’OMS en 1978 conçue en partenariat avec les populations, afin de définir avec elles leurs vrais besoins et prendre en compte leurs conditions de vie et leur environnement.
Lors du Sommet économique alternatif de Houston, en 1990, tenu en parallèle du G7, le Pr Banerji, Pr de santé publique à New Delhi, expert auprès de l’OMS et signataire du manifeste d’Anvers, critiquait vivement le programme des vaccinations de l’Inde : absence de données épidémiologiques sérieuses, surestimation des taux de vaccination, dissimulation des accidents postvaccinaux, coût élevé des vaccinations massives.
Bien que loin d’être un opposant au principe des vaccins, il dénonce les programmes de vaccination répandus dans le monde entier sur la base d’une propagande mensongère, sans que l’ampleur réelle des problèmes de santé n’ait été mesurée. 
N’ayant pour but que de créer un marché aux vaccins, ce systeme rend durable la dependance des pays du Sud et expose les populations à des accidents severes. 

biogassendi.ifrance.com/editobiofr14vaccins.htm

Pour se faire une idée sur le fonctionnement de la machine industrio-médicamenteuse, il est utile de lire ce topic :

www.reunioncapsante.net/pharmacovigilance/senat_medicament.html

Extraits :

Commission d’enquête sur les conditions de délivrance et de suivi des autorisations de mise sur le marché des médicaments)
 
"En 2003, les ressources de l’AFSSAPS provenaient pour 83% de l’industrie pharmaceutique et pour seulement 6,4% de l’Etat."
 
Vous pourrez aussi retrouver une liste de médicaments ayant satisfait aux contrôles exigés par les autorités sanitaires, et qui ont pourtant provoqué des accidents graves voire mortels.

-la cerivastine (laboratoire BAYER) commercialisée en France sous les noms de « Staltor » et de « Cholstat », retirée du marché en 2001 après le décès de 52 patients. 

- le crestor (laboratoire ASTRAZENIKA) mis en cause pour les mêmes effets indésirables.

- Certains anti-inflammatoires, prescrits contre l’arthrose :

- le Vioxx, produit phare du laboratoire MERCK, retiré du marché le 30 septembre 2004 parce que rendu responsable, selon une étude américaine, de 28 000 infarctus mortels 

- le Celebrex de PFIZER, soupçonné en France d’être à l’origine d’accidents vasculaires comparables.

- Certains antidépresseurs, en raison d’un risque aggravé de comportement violent et suicidaire, notamment chez l’enfant et l’adolescent : après le Deroxat de GLAXOSMITHKLINE, mis judiciairement en cause en 2004...


Vous apprendrez aussi que :

"les effets secondaires dus aux médicaments font chaque année en France environ 18 000 morts et provoque 3% du nombre total des hospitalisation !"

 

Malheureusement la médecine fait des dégâts et le système n’est pas prêt de s’arrêter.
 
Les laboratoires assurent 80% du financement des agences chargées d’autoriser la commercialisation des médicaments et une étude défavorable aux intérêts des laboratoires pour un vaccin ou un médicament ne peut quasiment plus être publiée.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe